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1911
Articles
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Presse & Collections —
Les Chansons qui passent (1911)
(1911)
Bizeau, Eugène. — Les Chansons qui passent… / mus. Auguste Fay. — Paris : La Muse rouge, 1911. — 8 p.
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Presse & Collections —
Rénovation : naissances limitées, bonne éducation, tempérance : organe de la Fédération des groupes ouvriers néomalthusiens (CGONM) de la Ligue ouvrière de protection de l’enfance et de la Fédération ouvrière anti-alcoolique (1911-1914)
(1911)
Rénovation : naissances limitées, bonne éducation, tempérance : organe de la Fédération des groupes ouvriers néomalthusiens (CGONM) de la Ligue ouvrière de protection de l’enfance et de la Fédération ouvrière anti-alcoolique/ — Paris. — nº 1 (15 avril 1911) - nº 37 - 4e année nº 1 (15 avril 1914).
Chansons (105)
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À l’auberge de la route
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Puis diverses musiques : Charles “Lino” Léonardi (1957), P’tit Crème (1997, Pierrot Noir (2003)).
C’est à l’auberge de la route / Autour / De douze litres de vin blanc ; / Les rouliers causent, en buvant, / D’ l’amour ! / / « L’amour ! les (…) -
À Marianne
([1911 & ante])
Texte de Tony Gall’ (≤1911).
À nos amis Platel et Commeignes, de Méru, les derniers poursuivis / 1 / La République s’embourgeoise / Et rend les humbles malheureux ; / Dure au (…) -
Les Absinthes
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Puis diverses musiques : Jacques Ivan Duchesne (2000), Max Boyer (2007).
Attends-moi ce soir, m’as-tu dit, maîtresse ; / Et, tout à l’espoir d’avoir ta caresse, / Je me suis assis au banc d’un café ; / Mes yeux inquiets (…) -
Adieux à Aristide
(1911)
Texte de Gaston Couté (1911). Sur l’air « Tu t’en vas et tu nous quittes ! ».
Tu t’en vas et tu nous quittes, / Tu nous quitt’s et tu t’en vas ; / Tu peux t’trotter au plus vite / Aristide… on n’te r’tient pas. / Tout (…) -
Ah ! Ah ! Moi j’m’en…
(1911)
Texte de Gaston Couté (1911). Sur l’air « Le Petit homme gris » de Pierre-Jean de Béranger (1780-1857) [chanson elle-même sur l’air « Toto, Carabo » ?].
Au banc d’infamie… / …De nouvelles poursuites sont, paraît-il, intentées à la Guerre Sociale ! Gaston Couté, Auroy et un « sans patrie » (Hervé) (…) -
Allez mes p’tits gas !
(1911)
Texte de Frédéric Mouret (1911 ?).
Allez mes petits gas… / Le pays vous appelle à larges claironnées… / Et vous devez vous rendre. — Sublimes destinées… / Pour la gloire et (…) -
L’Amour maternel
(1911)
Texte d’Eugène Bizeau (1911). Musique d’Auguste Fay.
1 / Pour les petits que la détresse affame, / Comme pour ceux par la chance accueillis, / J’ai rayonné dans le cœur de la femme / En tous les (…) -
Au 22e (chanson de route)
(1911)
Texte de Gaston Couté (1911). Sur l’air « Auprès de ma blonde » [= « Le Prisonnier de Hollande »] peut-être de André Joubert du Collet.
La 2e Batterie du 22e régiment d’Artillerie, casernée au quartier Noailles, a refusé de monter à cheval en disant que la nourriture était (…) -
Le Beau geste du sous-préfet
(1911)
Texte de Gaston Couté (1911). Sur l’air « Ça vous fait tout d’mêm’ quelque chose ».
« À Épernay, M. Nepoty, sous-préfet, a pris l’initiative de faire placarder dans les communes viticoles le discours de M. Briand ! » / Tandis que (…) -
Berceuse du « dormant »
(1911)
Texte de Gaston Couté (1911). Sur l’air « Le P’tit quinquin » [= « L’Canchon dormoire »] d’Alexandre Desrousseaux (1820-1892).
Dans toute la région du Nord, les mamans pauvres ont l’habitude de confier leurs bébés à une soigneuse. Puis elles s’en vont gagner leur vie à la (…)