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1911
Articles
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Presse & Collections —
Les Chansons qui passent (1911)
(1911)
Bizeau, Eugène. — Les Chansons qui passent… / mus. Auguste Fay. — Paris : La Muse rouge, 1911. — 8 p.
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Presse & Collections —
Rénovation : naissances limitées, bonne éducation, tempérance : organe de la Fédération des groupes ouvriers néomalthusiens (CGONM) de la Ligue ouvrière de protection de l’enfance et de la Fédération ouvrière anti-alcoolique (1911-1914)
(1911)
Rénovation : naissances limitées, bonne éducation, tempérance : organe de la Fédération des groupes ouvriers néomalthusiens (CGONM) de la Ligue ouvrière de protection de l’enfance et de la Fédération ouvrière anti-alcoolique/ — Paris. — nº 1 (15 avril 1911) - nº 37 - 4e année nº 1 (15 avril 1914).
Chansons (105)
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Le Foin qui presse
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Puis diverses musiques : Philippe Le Velly (2013), Vania Adrien Sens.
Ah ! Pour eun’bell’ noc’, c’était eun’ bell’ noce !… / Y avait — oui, d’abord ! — eun’ joli’ mariée, / Y avait d’ la famill’ des quat’ coins d’la (…) -
Le Fondeur de canons
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Diverses musiques : Gérard Pierron (1976), Marc Robine (1979), Claude Féron (1984), P’tit Crème (1997), Pierrot Noir (2003), Laurent Zoppis (2012), Vania Adrien Sens, Max Boyer.
Je suis un pauvre travailleur / Pas plus méchant que tous les autres, / Et je suis peut-être meilleur / Ô patrons ! que beaucoup des vôtres ; / (…) - Grève [→ La Paix] ([1911 & ante])
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Guerre à l’alcool !
([ca 1911])
Texte (chanson) de Robert Lanoff (ca 1911 ?).
L’Être ne peut penser qu’avec un cerveau sain (R.L.) / À mon ami André Lorulot / 1 / Vous qui prêchez la lutte sociale / Pour devancer l’aube (…) - Hélas ! plus de mouchoirs… [→ Hélas ! quelle douleur] (1911)
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Hélas ! Quelle douleur = Hélas ! plus de mouchoirs…
(1911)
Texte de Gaston Couté (1911). Sur l’air du cantique de même nom.
La chanson, poursuivie par la justice, donne naissance à un autre titre « Ah ! Ah ! Moi j’men… ».
Hélas ! quelle douleur / Emplit mon cœur / Et de moi s’empare ; / Hélas ! quelle douleur / Emplit mon cœur / Devant tant d’malheurs ! / J’ai perdu (…) -
Hymne au vin nouveau
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Musique de Léo Daniderff.
Doucement le matin s’éveille / Ouvrant ses yeux extasiés / Sur le mystère des celliers / Gardant la vendange vermeille ; / Dans l’aurore du… (…) -
Le Jour du marché
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Diverses musiques : Vania Adrien Sens (1976), Gérard Pierron (1992).
À la rond’ les v’là qui vienn’nt de dix yieues ; / A’s ont des couéff’s blanch’s, i’s ont des blous’s bleues. / I’s iniss’ le ch’val à l’auberg’ (…) -
Les Juges
([1911 & ante])
Texte (monologue) de Robert Lanoff (≤1911).
« Un juge quand bien même il serait équitable / Commet d’abord un crime en jugeant son semblable » / Juges qui vous tenez assis dans vos (…) -
Ma chatte grise…
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté (date inconnue). Puis musique de Vania Adrien Sens (1978).
Ma chatte grise était insupportable / Et vieille de treize ans au moins : / Elle volait ma viande sur la table / Et foirait partout dans les coins (…)