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1911
Articles
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Presse & Collections —
Les Chansons qui passent (1911)
(1911)
Bizeau, Eugène. — Les Chansons qui passent… / mus. Auguste Fay. — Paris : La Muse rouge, 1911. — 8 p.
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Presse & Collections —
Rénovation : naissances limitées, bonne éducation, tempérance : organe de la Fédération des groupes ouvriers néomalthusiens (CGONM) de la Ligue ouvrière de protection de l’enfance et de la Fédération ouvrière anti-alcoolique (1911-1914)
(1911)
Rénovation : naissances limitées, bonne éducation, tempérance : organe de la Fédération des groupes ouvriers néomalthusiens (CGONM) de la Ligue ouvrière de protection de l’enfance et de la Fédération ouvrière anti-alcoolique/ — Paris. — nº 1 (15 avril 1911) - nº 37 - 4e année nº 1 (15 avril 1914).
Chansons (105)
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Complainte des trois roses
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Diverses musiques : Gérard Pierron (1976), Jacques Florencie (1980), Claude Féron (1984), Michel Desproges (2005).
Ah ! quand j’avais vingt ans sounnés, / Ah ! quand j’avais vingt ans sounnés, / Margot s’en allait vouér ses bœufs / Avec eun’ ros’ roug’ dans les (…) -
Dans le jardin du presbytère
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Puis musique de Roger Houlet (2010).
Y a des pouériers en espaliers / Qu’écartent des branches grises : / Leu’s bras qu’on a crucifiés ! / Au long des murs de l’église, / Et ces (…) -
Le Drapeau des iconoclastes
(1911)
Texte d’Eugène Bizeau (1911). Musique d’Auguste Fay.
1 / Notre drapeau, le drapeau de nos âmes / C’est le drapeau de la joyeuse humeur / C’est le plus beau de tous les oriflammes / Pour le défendre (…) -
Les Draps sèchent sur le foin
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Puis diverses musiques : Gérard Pierron (1979), Jacques Ivan Duchesne (2000).
Quoué qu’a tombé su’ la prairie / Pour qu’on la revi’ coumm’ ça tout’ blanche ? / Tomb’ pas d’neige en plein cœur d’avri’ : / Ça f’rait framer (…) -
L’École
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Puis musique de Jacques Ivan Duchesne (2000).
Les p’tiots matineux sont ’jà par les ch’mins / Et, dans leu’ malett’ de grousse touél’ blue / Qui danse et berlance en leu’ tapant l’cul, / I’s (…) -
L’Élection du président de la chambre
(1911)
Texte de Gaston Couté (1911). Sur l’air « Le Joueur de luth ».
Les « quinz’ mill’ » pleins d’émotion (bis) / Caus’nt encor de l’Élection (bis) / Mais les bons bougr’s en c’tt’affaire / N’voient rien (…) -
L’Enfermée
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Musique de Léo Daniderff (1904). Puis diverses musiques : Jacques Florencie (1980), Claude Antonini (1981), Michel Desproges (1997), Jacques Ivan Duchesne (2000), Laurent Zoppis (2012 ?), Alain Moreau.
J’ vis cheu mes enfants pasqu’on m’trouv’ berlaude : / l’s m’coup’nt du pain blanc, rapport à mes dents ; / l’s m’donn’nt de la soup’ ben grasse (…) -
Et dire qu’on s’aime
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Musique de Raoul Le Sens ; puis musique de Vania Adrien Sens (1976).
V’là cor la natur’ qui m’taquine, / Dir’ qu’on s’aim’ tous deux, la vouésine ! / J’partirai dimanche, au tantoùt, / Devinez où ? / Dir’qu’i’ faut (…) -
Les Faucheux de Coulmiers
([1911 & ante])
Texte [incomplet] de Gaston Couté. Musique de Léo Daniderff (1878-1943).
À Coulmiers avant la guerre / Les pères de ces gâs-là / Fauchaient comme leurs grands-pères, / Fauchaient, fauchaient à pleins bras / Et ceux dont (…) -
Feu de vigne…
([1911 & ante])
Texte de Gaston Couté. Puis diverses musiques : Jacques Florencie (1983), Claude Antonini (2005), Max Boyer (2016).
Ils avaient de très belles vignes / Dont le vin loyal et rosé / Était couleur de leur baiser : / Leurs vingt ans furent doux et dignes ; / Puis, (…)