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Déjacque, Joseph (1821-1864)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_D%C3%A9jacque
https://maitron.fr/spip.php?article154757
http://www.ephemanar.net/decembre27.html#dejacque
in Dictionnaire des militants anarchistes : DEJACQUE, Joseph
Né le 27 décembre 1821 à Paris- mort le 18 novembre 1865 - Commis ; colleur de papier ; peintrer en bâtiment - Paris - Londres, New York & La Nouvelle Orléans
Joseph Déjacque, militant socialiste et inventeur du néologisme « libertaire », est considéré comme l’un des pères de l’anarchisme français.
Élevé avec beaucoup de soin par une veuve soucieuse de l’éducation de ses deux fils, qui était entrée comme lingère à l’école Salives, rue Lenoir (VIIIe arr. ancien, aujourd’hui rue d’Aligre, XIIe), pour payer la pension de son fils, Déjacque fit preuve très tôt d’un goût marqué pour la lecture et la versification. Il entra en 1834 comme apprenti en (…)
Au moins 9 revues francophones parues sous ce nom
(voir sur le site Bianco).
Au moins 7 ouvrages recensés dans le
Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 1 carte postale anarchiste parue avec ce nom.
Voir sur Cartoliste.
Almeno 1 periodico in lingua francese italana su questo nome
(vedere sul sito Bettini).
Chansons (8)
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Baronie et jacquerie modernes [→ Némésis]
(1857)
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Le Concussionnaire-loup et le voleur-agneau
(1857)
« Fantaisie sur un thème d’opéra-comique » (Si j’étais roi d’Adolphe Adam). Texte de Joseph Déjacque (1857).
La raison du plus fort est toujours la meilleure. (Jean de La Fontaine) /
Ils ont volé !, volé !, volé !… (Hégésippe Moreau) /
Duègne édentée, (…)
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De quoi vous plaignez-vous ?
(1857)
Texte (chanson) de Joseph Déjacque (1857).
Horreur ! horreur ! disent tout bas les âmes. / — Horreur, hélas ! répond la Liberté. — / Tout n’est que vols et que meurtres infâmes, / Le Mal (…)
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Fraternité et fraticide
(1849)
Texte de Joseph Déjacque (1849).
Alors qu’en Février la jeune République, / Aux ailes du Progrès, ouvrait les horizons, / D’occultes serviteurs du Veau d’Or monarchique, / Sous (…)
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Le Lion
(1857)
Texte de Joseph Déjacque (1857).
Alors, crinière au vent, sans entrave ni maître, / L’œil en feu, farouche, indompté, / Il errait au désert sous des cieux de salpêtre, / Libre au (…)
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La Meute
(1853)
Texte de Joseph Déjacque (1853).
1 / / Celui qui baptisa de multitude vile / Le paysan et l’ouvrier ; / Dont l’accent venimeux, la langue de reptile / Crocha la bave au peuple (…)
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Némésis
(1857)
Ou « Baronie et jacquerie modernes ». Texte de Joseph Déjacque (1857).
Fougue de la misère, infernale tempête, / Qui déchire mon sein et gronde dans ma tète, / Euménide du désespoir, / Toi qui creuses ma joue et (…)
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La Propriété
(1848)
Texte de Joseph Déjacque (1848).
La propriété, c’est le vol ! / Pierre-Joseph Proudhon / Aux temps passés, dans l’enfance des âges, / Sans autre loi que la communauté, / L’homme (…)