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1910
Articles
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Presse & Collections —
Le Réveil artésien : organe révolutionnaire (1910-1911)
(1910)
Le Réveil artésien : organe révolutionnaire. — Arras. — Nº 1 (27 mars 1910)-nº 61 (13-20 mai 1911).
Devient : Le Grand soir (1911-1914 à partir du nº 62 (20-27 mai 1911).
Chansons (75)
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À bas Biribi
([1910 & ante])
Texte de Tony Gall’ (≤1910).
1 / Lorsque du jour s’éteint la féerie, / Quand l’ombre opaque envahit terre et flots, / Des chotts, des monts et du bled d Algérie / Monte un (…) -
À bas Biribi !… [= Bas Biribi…]
(1910)
Texte de Charles d’Avray (1910).
« Quand la cause est trop forte, attaquons les effets. » / Ch. d’Avray / Biribi, Biribi, c’est là-bas en Afrique / Où de robustes gars sont (…) -
À la façon de Barbarie…
(1910)
Texte de Gaston Couté (1910). Sur l’air « À la façon de Barbari mon ami ».
Depuis le temps que Nicolas, / Ce tapeur plein d’astuce, / Fait chez nous, après chaqu’ gala, / Un nouvel emprunt Russe : / À notre tour, (…) -
Accouchement royal
([ca 1910])
Texte de Maurice Doublier (≤1910). Sur l’air « Le Petit chaperon rouge ».
1 / Au pays des hidalgos / S’il faut en croire la presse / De Carthagène à Burgos / Tout le monde est dans l’allégresse : / La reine d’Espagn’, (…) -
L’Affaire Chevaux-Jacquelin, ou « Les affaires sont les affaires ! »
(1910)
Texte de Gaston Couté (1910). Sur l’air « La combinaise ».
Après l’premier tour d’scrutin, / Comm’ par hasard i’s s’rencontrèrent : / Chevaux dit : « ça va, vieux frère ? / — Heu, ça branl’ dans l’manch’ (…) - Les Affaires sont les affaires [→ L’Affaire Chevaux-Jacquelin] (1910)
- Les Assassins de Liabeuf [→ Que le sang retombe sur vous] (1910)
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Au drapeau !
([1910 & ante])
Texte de Charles Chambiet (≤1910). Sur l’air : « Le Clairon » (1873 ?) de Paul Déroulède (1846-1914), musique d’Émile André.
1 / Oyez l’histoire authentique / Et le récit véridique / De la blague d’un Gascon, / Qui souilla l’autre semaine, / — vraiment, ce n’est pas de (…) -
Au lieu d’un pauv’ petit pompon (chanson de route)
(1910)
Texte de Gaston Couté (1910). Sur l’air « tu n’manieras pas mes tétons ».
« Voici que le pompon disparaît par ordre du ministre de la Guerre. On parle de le remplacer par le plumet » / Les Journaux / C’est ben l’cas (…) -
L’Aubade de l’employé
([ca 1910])
Texte de Maurice Doublier (ca 1910).
1 / Ohé ! ohé ! Suzon, c’est moi / Aujourd’hui je suis de sortie / Laisse l’aiguille et presse-toi / Il faut en profiter, ma mie / Le gai (…)