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1887
Articles
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Presse & Collections —
L’Autonomie individuelle (1887-1888)
(1887)
L’Autonomie individuelle : revue mensuelle des idées anarchistes [puis] revue an-archique. — Paris. — nº 1 (mai 1887)-nº 9 (mars 1888)
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Livres & Brochures —
Chants révolutionnaires (1887)
(1887)
Pottier, Eugène. — Chants révolutionnaires / préf. Henri Rochefort ; appréciations Gustave Nadaud, Jules Vallès. — Paris [France] : Dentu, 1887. — 240 p. ; 19 cm.
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Presse & Collections —
La Révolte (1887-1894)
(1887)
La Révolte : organe communiste-anarchiste. — Paris. — nº 1 (1887, 17-23 sept.)-nº 26, a. VII (1894, 10-17 mars)
Suite de :
Le Révolté : organe communiste anarchiste. — 2e série. — Paris. — nº 1, a. I (1885, 12-25 avr.)-nº 23, a. IX (1887, 10 sept.)
et de :
Le Révolté : organe socialiste, puis organe anarchiste, puis organe communiste-anarchiste. — Genève. — a. I, nº 1 (1879, 22 févr.)-a. VII, nº 2 (1885, 14 mars)Suivi de :
Les Temps nouveaux. — Paris. — Paraissant tous les samedis. — 1re année, nº 1 (1895, mai)-20e année, nº 15 (1914, aout)
Chansons (70)
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Déjà !
([1887 & ante])
Texte d’Eugène Pottier.
À la citoyenne Paule Mink. / Au petit jour, la neige tombe, / Tourbillonnante par les airs ; / Un drap de plumes de colombe / S’étend sur les (…) -
En avant ! la classe ouvrière
([1887 & ante])
Texte d’Eugène Pottier. Mus. par par Pierre Degeyter.
Au Parti révolutionnaire cosmopolite de toutes les écoles. / APPEL / / En avant ! les forges, les mines, / Les fabriques et les chantiers. / (…) -
Les Enfants de la nature
([1887 & ante])
Texte de Paul Paillette (1887). « En attendant une musique nouvelle qui nous convienne davantage, nous chantons cette chanson sur l’air : “Tas d’chicards, tas d’flambards !” » (1885) (refrain favori de « Les Canotiers de la Seine »), texte et mus. de Ferdinand Gauthier.
Indomptés, / Révoltés, / Les Enfants de la Nature. / / Luttent pour / Voir un jour le doux règne de l’Amour. / Simples dans nos goûts, dans nos (…) -
L’Enterré vivant
([1887 & ante])
Texte d’Eugène Pottier.
Au citoyen Auguste Vaillant [1]. / 1 / L’air, plein de senteurs capiteuses, / Grisait les couples amoureux. / Je vis un homme, aux mains (…) -
Fille d’ouvriers
(1887)
Texte de Jules Jouy (1887). Musique de Gustave Goublier (1856-1926).
À mon ami Paul Marrot. / « Cependant, le contre-maître a avoué tous les faits dont il est accusé ; ÷ séparé de sa femme, il ne se contente pas (…) -
Le Fils de la fange
([1887 & ante])
Texte d’Eugène Pottier. Mus. (2011) par Sébastien Ducret.
À Lucien-Victor Meunier, auteur des Clameurs du pavé. / Elle traîne à demi rongée / Sa vieillesse de dix-sept ans ; / Sa robe de haillons frangée, (…) -
Les Fonctionnaires
(1887)
Texte de Jules Jouy (1888).
À Adolphe Bonnet / « Sans sortir de la métropole, il est facile de constater combien le fonctionnaire s’est développé et se développe de jour en (…) -
Le Froid (chanson de pauvre)
(1887)
Texte de Jules Jouy (1887).
À mon ami Cazin / « Voici venir l’hiver, tueur des pauvres gens ! » / Jean Richepin / À travers Ia vitre, le froid / Me fixe, ironique et (…) -
Le Grand krack
([1887 & ante])
Texte d’Eugène Pottier. Mus. (2021) par Corentin Coko.
Au citoyen G[ustave] Rouanet. / Le grand Krack est bien proche, / Mais la vaste sacoche / De tous les suceurs d’or, / Par le jeu d’une pompe, / (…) -
La Grève noire
(1887)
Texte de Jules Jouy (1887). Sur l’air : « D’la braise » (ca 1885) d’Aristide Bruant.
Aux grévistes belges. / Esclaves, de houille frottés, / Nègres des mines, qui luttez / Sans trêve ; / / Bêtes qui, du maître au poing dur, / (…)