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1896

 
 

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Chansons (69)

  • Ennui mondain ([1896 & ante])

    Texte de Paul Paillette (≤1896).

    Comme des malades contents / Quand la douleur change de siège, / Espérant, pour quelques instants. / Tromper le mal qui nous assiège, / Nous (…)
  • Épithalame (1896)

    Texte de Gaston Kleyman (1896).

    Vous qui pleurez en des mansardes, / Vous dont les lamentables hardes, / Dont les pauvres mines hagardes / / Semblent suspectes à la gent / (…)
  • Fraternité ([1896 & ante])

    Texte de Sébastien Faure (≤1896). Sur l’air : « Le rossignol de la République : romance dramatique » (1872 ?), musique de P. Eybert sur un texte de J.A. Lamouroux.

    Ils ont senti passer sur leur têtes altières / Le souffle précurseur des révolutions, / Et les dirigeants braqué sur les frontières / Veulent (…)
  • Gare aux loups ! ([1896 & ante])

    Texte de Victor Serfant (≤ 1896).

    1 / Si des bourgeois vous parlaient de la vie, / Ne dites pas que vous êtes heureux, / Car ils prendront des airs digne d’envie ; / Ils (…)
  • La Gestation (1896)

    Texte de Georges Javogues (1896).

    Passé, présent qui va finir, / Secrets d’antan et d’avenir, / Qui peut prévoir, qui peut connaître / Ce qui meurt ou ce qui va naître / Dans le (…)
  • Già allo sguardo (1896)

    Noto anche comme “Il Ritorno di un esiliato” o “Il Ritorno dell’esiliato”. Testo di Carlo Vita (1896). Musica di Ugo Titta.

    Già allo sguardo / già allo sguardo mi apparve la terra / tra gli albori di un sole nascente / Nel vederla / nel vederla il mio cuore si serra / (…)
  • Gueux d’hiver (1896)

    Texte de Fernand ou Maurice Pelloutier (1896).

    Ah ! gueux d’hiver, le v’là qui r’vient / Pour fair’ d’la mistoufle au pauv’ monde ! / Où qu’ t’étais, bandit, t’étais bien, / T’avais du champ, (…)
  • L’Honnêtomane ([1896 & ante])

    Texte de Paul Paillette (≤1896). Sur l’air (souvent utilisé par Béranger) : « Faut d’là vertu, pas trop n’en faut » (1773) musique par Nicolas Dezède (1740-1792) dans L’Erreur d’un moment.

    Au bistrot superbe qui a tué et s’est tué pour « l’Honneur ». / Patenté comme empoisonneur, / Le mastroquet a de l’honneur. / / En cette soce ou (…)
  • Il faudra voter mieux !… : soirée électorale (1896)

    Texte d’Henri Dhorr [Lucien Weill] (1896). Sur l’air « Je retourne au bureau à plac’ment ».

    J’ai voté pour un député qui faisait de très chouett’s promesses ; / Mais c’était u simple jean-fesses : / J’n’avais pas encor bien voté. / / (…)
  • Inno abissino ([1896 & ante])

    Testo di Ulisse Barbieri (1896 ?). Su aria dell’“Inno di Garibaldi” (Si scopron le tombe, si levano i morti) di Luigi Marcantini (1821-1872) ; mus. (1858) Alessio Olivieri (1830-1867).

    In nome d’un dritto che a noi si contende, / ognun le sue leggi la patria difende, / i martiri nostri li chiaman spioni, / con forti e cannoni ci (…)