Accueil > Mots-clés > Date de parution > 1870
1870
Chansons (9)
-
31 octobre
(1870)
Texte d’Eugène Pottier (1er novembre 1870).
Au citoyen Élie May. / Le peuple sent qu’il est trahi, / C’est trop aboyer à la lune. / L’Hôtel de Ville est envahi, / Paris, proclame ta Commune (…) -
Die Arbeitsmänner
(1870)
Text : Johann Most (1870). Nach der Melodie : "Zu Mantua in Banden" (= “Andreas-Hofer-Lied”, 1844) von Leopold Knebelsberger (1814-1869).
Wer schafft das Gold zu tage ? / Wer hämmert Erz und Stein ? / Wer webet Tuch und Seide ? / Wer bauet Korn und Wein ? / Wer gibt den Reichen all (…) -
Défends-toi, Paris !
(1870)
Texte d’Eugène Pottier (septembre 1870).
À [Raoul] Urbain, membre de la Commune. / Entends-tu les pas d’une armée, / Paris, quels sombres châtiments ! / Sur tes coteaux vois la fumée / (…) -
Les Effarés
(1870)
Texte (= « Les Petits pauvres ») Arthur Rimbaud (1870). Musique par Michèle Bernard (2001).
Noirs dans la neige et dans la brume, / Au grand soupirail qui s’allume, / Leurs culs en rond / / A genoux, cinq petits, — misère ! — / (…) -
Guillaume et Paris
(1870)
Texte d’Eugène Pottier (novembre 1870).
Insérée au Combat, de Félix Pyat. / GUILLAUME / Paris, comprends ton danger : / J’ai pris ton armée au piège. / Ouvre, ou je vais t’assiéger ! / (…) -
Manifestation de la paix
(1870)
Texte de Louise Michel (1870).
C’est le soir, on s’en va marchant en longues files, / Le long des boulevards, disant : la paix ! la paix ! / Dans l’ombre on est guetté par les (…) -
Le Moblot
(1870)
Texte d’Eugène Pottier (Paris, 1870). Mus. (1971) Max Rongier ([1941-2020] ?).
(Refrain) / Jeunesse héroïque, / Arme ton flingot. / Pour la République / En avant, moblot ! / / 1 / Le maire et le garde champêtre / Disaient (…) -
Quand viendra-t-elle ?
(1870)
Texte d’Eugène Pottier (Paris, 1870). Une version sur un « air populaire breton, recueilli et harmonisé par Gabriel Fabre » parait dans Le Peire Peinard nº 217 (14 mai 1893) ; aussi mus. (2011) par Sébastien Ducret.
Au citoyen Mijoul. / J’attends une belle, / Une belle enfant, / J’appelle, j’appelle, / J’en parle au passant. / Ah ! je l’attends, je l’attends ! (…) -
La Terreur blanche
([1870 & ante])
Texte d’Eugène Pottier (1870).
1 / Messieurs les conservateurs, / Vous le grand parti de l’Ordre, / Procédons, plus de lenteur ! / L’hydre peut encor nous mordre. / On a pris (…)