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anonyme
Chansons (267)
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Gli Arditi di Sarzana
(1921)
Testo di anonimo (1921).
Eccoci qua arditi siam / pieni d’amor pieni d’ardor / per la bassa plebe / né speranza e né paura / ci rattrista i nostri cuori / / Noi siamo (…) -
Arditi “a noi”
(1921)
Testo di anonimo (1921). Sul’arria de “Il Commiato” di G. Blanc.
Se noi fummo nella guerra / i più saldi difensori, / se strappammo gloria e onori / a un nemico battagliero, / siamo arditi della gloria, / di (…) -
¡Arroja la bomba !
(1932)
Texto anónimo [de Aznar ?] (1932).
Arroja la bomba / que escupe metralla. / Coloca petardo, / empuña el star. / Propaga tu idea revolucionaria / hasta que consigas / amplia (…) -
L’Attentat
([1893 ?])
Texte anonyme (1893 ou 1894).
Rue du faubourg Poissonnière, / En rentrant à son logis, / Un passant, la s’main’ dernière, / S’arrêta soudain surpris : / Il venait, dans la nuit (…) -
Aux grévistes de Decazeville
([1886 & ante])
Texte anonyme (1886 ?).
Ainsi toujours le sombre au lugubre succède, / Par l’aveugle destin entraîné sans retour ! / Misère, noir torrent devant lequel tout cède, / Tes (…) -
Aux prolétaires
(1898)
Anonyme (1898).
Malheureux fils d’un prolétaire / J’ai vu des peuples opprimés / Sous l’étreinte de la misère / Se tordre, maigres, affamés. / De la raison une, (…) -
L’Avenir
([1906 & ante])
Texte anonyme (≤1906).
1 / Pourquoi demeurer en arrière, / Quand le soleil poursuit son cours / En nous lançant dans la carrière / Dieu nous a dit : Marchez toujours ! / (…) -
Ballade communiste
(1897)
Texte anonyme (1897).
L’air pur que notre poitrine aspire / Ne connaît ni titre ni rangs, / Et donne à tout ce qui respire / Ses effluves indifférents ; / L’eau verte, (…) -
Ballade du pain rouge
([1897 & ante])
Texte anonyme (≤1897).
Holà ! vous tous d’là ribambelle, / Qu’a le bel or pour souverain / Toi, l’gommeux chemisé d’dentelle / Et toi, la princière catin / Dont l’cœur (…) -
La Ballata di Pinelli
(1969)
« Parole et musica del proletariato » (1969).
Quella sera a Milano era caldo / Calabresi nervose gridava / tu Lo Grano apri un po’ la finestra / as un tratto Pinelli cascò. / / “Scio (…)