De nombreux titres sont partiellement ou entièrement censurés. Il reste toutefois quelques poésies et apparemment aucune chanson :
- poésie « Printemps rouge » d’Eugène Bizeau, in nº 2 (9 avr. 1916)
- poésie « Assemblée de financiers » anonyme, in nº 5 (30 avr. 1916)
- poésie « Pour les nouvelles idoles » d’Eugène Bizeau (à Romain Rolland), in nº 5 (30 avr. 1916)
- poésie « Chanson idyllique » de Charles Bontemps, in nº 6 (7 mai 1916)
- poésie (sonnet) « Les “Braves gens” » d’Eugène Bizeau, in nº 6 (7 mai 1916)
- poésie « La Complainte du “Syllabus” » de Jean Cler[c ?], in nº 10 (3 juin 1916)
- poésie « La Barque du pêcheur » d’Albert D., in nº 11 (10 juin 1916)
- poésie « À mon idéal » d’A. Chevenard, in nº 11 (10 juin 1916)
- poésie entièrement censurée « Auprès des tombes » par Eugène Bizeau, in nº 16 (15 juil. 1916)
- poésie « Pour ne pas être censuré » par Eugène Bizeau, in nº 19 (5 aout 1916)
- poésie « Rondel triste » de Charles Bontemps, in nº 22 (26 aout 1916)
- poésie « Mentalité de requins » d’Eugène Bizeau, in nº 22 (26 aout 1916)
- poésie « Lettre à la femme » [partiellement censuré] de [illisible : Sébastien Faure ?], in nº 25 (16 sept. 1916)
- poésie « Le Planteur de choux » d’Eugène Bizeau, in nº 26 (23 sept. 1916)
- poésie « À l’œnophile » de Charles Doll (au camarade Eugène Bizeau), in nº 26 (23 sept. 1916)
- poésie « Pour l’amour de Bérénice, ou la Complainte de Maurice » de Maurice Hallé, in nº 27 (30 sept. 1916)
- La guerre : poésie « Cloches du Bon Dieu » de Pierre Larivière (janvier 1916, à Charles Glaudy), in nº 29 (14 oct. 1916)
- poésie « Les Trois sœurs » de Charles Doll, in nº 29 (14 oct. 1916)
- La guerre : poésie « Requête d’un paysan bourguignon au Père éternel » [15 lignes censurées] de Pierre Larivière (à J. B. Girod), in nº 30 (21 oct. 1916)
- poésie [puis musique en 1930] « Chanson virile » d’Eugène Bizeau, in nº 37 (9 déc. 1916)
- poésie « L’Antéchrist » de Camille Delong [pseud. Genold], in nº 43 (20 janv. 1917)
- poésie « Les Veules » d’Eugène Bizeau, in nº 56 (21 avr. 1917)
- poésie « Feuilles mortes » de G. Monmousseau, in nº 73 (13 oct. 1917)
- poésie « Vers la lumière » d’Auguste Bergot, in nº 78 (17 nov. 1917)