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1898
Chansons (45)
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Le Pauvre hère
([1898 & ante])
Texte de Louis Grandidier (≤1898).
Il passe honteux le long des murs, / En flageolant sur ses fémurs, / Sans pouvoir cacher sa misère, / Le pauvre hère. / / Le ventre tintant (…) -
Le Petit qui pleure
([1898 & ante])
Texte de jeunesse de Gaston Couté. Puis diverses musiques : Marc Robine (1979), Jacques Yvan Duchesne (2000), Michel Desproges (2005).
Un gosse qui n’a pas sept ans / Chiale au sortir du vieux faubourg / Où ça serti la peine et l’amour / Et je m’arrête, là longtemps : / Moi, dont (…) -
Petit troupier
([1898 & ante])
Texte de Job (1898). Sur l’air « À Biribi ».
Au premiers frimas de l’année, / Petit soldat ! / Il faut quitter ta fiancée / Et ton état / Pour aller courber ton échine / Au dur métier / Et (…) -
Petite chanson : les petits oiseaux chantaient trop fort
([1898 & ante])
Texte de Gaston Couté (œuvre de jeunesse, sans date). Musique de J. Lefrot, puis musique de Marc Robine (1979). Une autre version existe sous le titre Les p‘tits oiseaux chantaient trop fort….
Voilà : ce matin je voulais / Honorer d’un brin de romance / L’éveil des nids pleins d’oiselets / Et le doux printemps qui commence / J’ai (…) -
La Phalange des miséreux
([1898 & ante])
Texte anonyme (≤ 1898).
Dans une superbe voiture, / Riche insolent auprès des gueux, / Passant, vautré dans la fourrure / Tu méprise les ventres creux. / Qui donc t’a (…) -
Le Premier Mai
(1898)
Texte Jean Baptiste Clément (1898). Musique par Pierre Forest.
Silence à l’enclume, aux marteaux, / On ne descend pas dans les mines, / On ne va pus dans les usines. / C’est jour de fête et de repos. / (…) -
Le Rêve de Drumont
([ca 1898])
Chanson satirique — non anarchiste — de Victor Tourtal (peut-être vers 1898 lors du « J’accuse » d’Émile Zola). Air : musique de chambre
À la fin d’un banquet fort long où l’on avait bu comme quatre / Sébastien Faure et M’sieur Drumont se disputaient prêts à se battre. / C’était à (…) -
Sabottons !
(1898)
Texte de Louis Grandidier (1898).
Nous qui bâchons sans fin ni cesse, / Matin et soir, soir et matin, / Suant pour augmenter la caisse / D’un patron, soit juif, soit crétin, / Pour (…) -
Semailles
([1898 & ante])
Texte de Raphaël Danhinx [Amédée Dunois] (≤1898).
Ô Semeur, grande ombre sereine / En marche sous le ciel du soir, / D’un bout à l’autre de la plaine, / Du couchant rouge au levant noir, / / (…) -
Sorgiamo !
(1898)
Testo anonimo (1898).
Schiavo secolar, paria del servaggio. / che alla lame ognor ti forza l’oppressor ; / la sorte lieta sta nel tuo coraggio, / non più mendicanti, (…)