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1898
Chansons (45)
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Frimaire
([1898 & ante])
Texte de Louis Grandidier (≤1898).
Il fait frisquet, voici Frimaire ; / Gare à ceux qui none pas de feu, / Pour eux la saison victimaire / Ne sera pas dure qu’un peu ; / Même (…) -
Himno de sangre
([1898 & post])
Texto anónimo (1898). Traducción : anónimo [¿Emilio Gante ?] (<1931).
Trad. de « Inno del sangue ».
1 / Al grito estridente, doliente, / de una turba que pan demandaba / el feroz y monárquico Bava / con el plomo cruel respondió. / / Fueron mil (…) -
Inno del sangue
(1898)
Noto anche come “Il Feroce monarchico Bava”. Testo di anonimo.
1 / Alle grida strazianti e dolenti / Di una folla che pan domandava, / Il feroce monarchico Bava / Gli affamati col piombo sfamò. / Furon mille i (…) -
Libres amours
([1898 & ante])
Texte de Louis Grandidier (≤1898).
1 / Sans nul souci de ta morale, / Bourgeois, librement nous aimons ; / Et nous allons par vaux, par monts, / Narguant ta mine doctorale, / Sans (…) -
Mendiant
([1898 & ante])
Texte de Louis Grandidier (≤1898).
1 / Triste et tout de loques vêtu ; / Avec un air de chien battu, / La voix timide et larmoyante, / Il va par la foule ondoyante / Qui, sans le (…) -
Les Minables
([1898 & ante])
Texte de Louis Grandidier (≤1898).
Les gueux, les minables, / Souffrants lamentables / Vont les yeux hagards / Par les boulevards. / / ⁂ / / Errant les pieds endoloris / Avec du (…) -
La Mort d’un brave
([1898 & ante])
Texte d’Henri Riemer (1889 ?). Musique par François Brunel.
(Refrain) / Et ses lèvres, tout bas, bien bas, / Semblaient murmurer dans un rêve : / « Faudrait-il qu’en lâche, je crève ? / « De cette mort, je (…) -
Môssieu Imbu
([1898 ?])
Texte de Gaston Couté (1898 ?). Parait en « petit format » en 1900.
Môssieu Imbu est mort, est mort et entarré ! / Môssieu Imbu !… un gâs qui v’nait d’èt’ décoré / Pour pas avouèr mis d‘cess’ depis qu’il ’tait au (…) -
Nous trimons
([1898 & ante])
Texte de Louis Grandidier (≤1898).
1 / Dans la noire usine, / Pauvres ouvriers, / Forçats d’ateliers / Et chair à machine, / Nous qui travaillons, / Vêtus de haillons, / Comme des (…) -
Patriotard !
([1898 & ante])
Texte d’Henri Gréjois (≤1898).
C’est un dégénéré simplement veule et flasque / Qui mesure un guerrier à l’ampleur de son casque. / Son âme est de ruolz, son cœur de maillechort. (…)