Accueil > Mots-clés > Date de parution > 1881
1881
Articles
-
La Chanson des gueux (1881)
(1881)
Richepin, Jean. — La Chanson des gueux. — Édition définitive, revue et augmentée. — Paris : M. Dreyfous 1881. — 293 p.
Chansons (13)
-
Berceuse
(1881)
Texte de Jean Richepin (1881). Musique (1886 ?) par Désiré Dihau (1833-1909) ; puis par César Cui (Це́зарь Анто́нович Кюи́, 1835-1942), op.44 nº 1 ; par (Quatre mélodies, nº 41926) Paul Amiet (1883-1942) ; par (éd. 1932) Gabriel Saint-René-Taillandier (1861-1931).
Dors, mon fieux, dors, / Bercé, berçant. / Fait froid dehors, / Ça glace l’sang. / Mais gna d’ hez soi / Qu’ pour ceux qu’a d’quoi. / / Le vent (…) - Canto dei miserabili [→ La Marsigliese del lavoro] (1881)
- Canto dei sofferenti [→ La Marsigliese del lavoro] (1881)
-
Il Coro dei nihilisti
(1881)
Testo du Giorgio Dolstoiewski (1881), versione dal russo di Domenico Ciampoli (1852-1929) e W.E. Foulques. Musica non conosciuta.
Noi siam come l’aria che tutto circonda / Noi siam come il sole che penetra e inonda / Non visti qual Dio, potenti qual re. / / Ci è culla, ci è (…) - Inno dei pezzenti [→ La Marsigliese del lavoro] (1881)
-
La Marsigliese del lavoro
(1881)
O « Inno dei pezzenti ». Testo di Carlo Monticelli (1881). Musica di G. Vecchi.
Noi siamo i poveri, siamo i pezzenti, / la sporca plebe di quest’età, / la schiera inerme dei sofferenti / per cui la vita gioia non ha. (bis) / (…) -
Nativité
(1881)
Texte de Jean Richepin (1881).
D’aucuns ont un pleur charitable / Pour Jésus né dans une étable. / Je sais un sort plus lamentable. / / Je sais un enfant ramassé, / Un jour de (…) -
La Neige est triste
(1881)
Texte de Jean Richepin (1881).
La neige est triste. Sous la cruelle avalanche / Les gueux, les va-nu-pieds s’en vont tout grelottants, / Oh ! le sinistre temps, oh ! (…) -
Révolution sociale
(1881)
Texte d’Eugène Potier (Manchester, 1881).
Voyant ce colosse apparaître, / Les gros bonnets, les parvenus, / Les empanachés et le prêtre / Tremblent tous : les temps sont venus ! / / (…) -
Santé fraternelle
(1881)
Texte d’Eugène Pottier (Paris, retour d’exil, 1881).
Quand de sa rouille lamineuse / L’automne a jauni les forêts, / Tirons une loupe vineuse, / Allons-y boire et penser frais. / Mais pitié pour la (…)