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1903
Articles
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Livres & Brochures —
Il Canzionere dei ribelli (1903)
(1903)
Il Canzoniere dei ribelli.— Barre [Vt USA] : Cronaca sovversiva, 1903. — 41 p. ; 15 cm.
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Livres & Brochures —
Chansons vécues (1903)
(1903)
Privas, Xavier. — Chansons vécues. — 2e éd. — Paris : Paul Ollendorff, 1903. — 226 p.
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Presse & Collections —
Les Chants du peuple (1903 ?)
(1903)
Les Chants du peuple. Série nouvelle. — Paris : Temps nouveaux [?] — nº 1 [1903 ?]. — N.p. : ill. couv. (Jules Hénault).
Recueil de diverses impressions : la brochure reprend la couverture et des titres de la série des 11 fascicules « les Chants du peuple » édités par Paul Delesalle entre 1900 et 1902.
Le tarif n’est plus de 10 centimes mais de 15 centimes. -
Presse & Collections —
Le Réveil syndical (1903-1904)
(1903)
Le Réveil syndical : organe des travailleurs. — Lens ; Hénin-Liétard : Fédération syndicale des mineurs du Pas-de-Calais [= le « jeune syndicat »]. — nº 1 (1903, 27 avr.)-nº 37 (1904, 10 janv.)
« Le Réveil syndical n’est rédigé et administré que par des ouvriers syndiqués. Tous les articles sont faits par des exploités. Notre style n’a peut-être pas toujours une forme littéraire, mais nous nous moquons des règles grammaticales, pourvu que nous fassions de la propagande syndicaliste et révolutionnaire. La Rédaction ».
Chansons (54)
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Couplet vicieux
(1903)
Texte : François Rouge (1903). Air : « Sur l’air du tra,la la la » (1721 ?) (= « C’est la mère Michel »).
Au grand Conseil, des Wyss, / Jamais on n’en vit cent, / Un seul n’est pas novice / Quoi qu’il soit ravissant. / Contre nous et nos vices / Il (…) -
Cœur de bourgeois
(1903)
Texte de Herlant-Cogez (1903).
/ / Cruellement affamé et vêtu de misérables guenilles, / Par un matin glacial, un pauvre vieux travailleur, / S’en va péniblement frapper à (…) -
C’est un Comte à dormir debout
(1903)
Texte : François Rouge (1903).
Le pasteur Comte de St Étienne sous le titre suggestif et alléchant : “La faillite de l’Évangile” donna une série de conférences contradictoires. (…) -
Dansons la Syndicale
([1903 & ante])
Texte anonyme ou de Maurice Bouchor [d’après La Voix du peuple de Lausanne] (1903 ?). Sur l’air « La Carmagnole » (1792).
1 / J’en sais qui tremblent dans leur peau (bis) / Quand on arbore le drapeau (bis) / Il flambe, tout vermeil. / Comme un ardent soleil. / Dansons (…) -
En suivant leu’ noce…
(1903)
Texte de Gaston Couté (1903). Musique originelle de Léo Daniderff, puis diverses musiques : Claude Antonini (1981), Jacques Florencie (1983), Vania Adrien Sens.
On d’vait s’marier su’ l’coup d’nos vingt ans, / - (Tes jou’s étin douc’s comm’ le v’lours des péches) - ; / Mais quoué ! dans la vi’ du monde, y (…) -
L’Entrepreneur en grève
(1903)
Texte (chanson ou monologue ?) : François Rouge (1903).
L’acteur doit tituber légèrement. / 1 / Y a plus moyen d’turbiner, / Mais ya aps qu’çà qui m’amuse / C’est qu’on fait de chouettes diners / À (…) -
Garçaille pâlie
(1903)
Texte de Gaston Couté. Musique originelle d’Estéban Marti (1903).
Bieau gâs s’en va ; brunette jolie / Trottaille tant qu’all’ peut après li. / / I’ se ne et li cont’ les choses / Qui font rosi sa bouchette (…) -
La Garde nationale
(1903)
Texte : François Rouge (1903). Air : « Salut, glaciers sublimes » (= « Dialogue entre Zabet et la Suzon ») (date ?).
1 / La garde nationale / Veut marcher au combat, / Richard comme un Vaudois / Mettre les pieds dans l’plat / Bruel dans sa boutique / Dit qu’il (…) -
Le Général Gaga
(1903)
Texte : François Rouge (1903). Air : « La Mariée du Mardi-Gras » (1861) mus. par Sylvain Mangeant (1827-1889) [et Jean-Baptiste Arban ? (1825-1889)] pour l’opérette de Lambert-Thiboust (1827-1867) et Eugène Grangé [Pierre-Eugène Baste] (1810-1887) ; chœurs d’enfants.
Octobre 1902. 300 ans après l’Escalade. Après mille Champs d’honneur on croyait que le cycle du génie militaire s’était fermé. Il était réservé à (…) -
La Gommeuse pudique : chansonnette comique
(1903)
Texte de Gaston Couté et Gaston Petit (18..-1941). Musique de Georges Klotz (1903) ; puis musique de Vania Adrien Sens.
J’étais une petit’ chanteuse / Sorti’ tout fraîch’ment de pension ; / Je n’étais pas encor noceuse / Et n’en avais pas l’intention. / J’voulais (…)