[…][(Refrain) ?]Hitler, Mussolini, vos crimes de vampiresont fot frémir d’horreur le monde épouvanté,Mais les peuples vainqueurs détruiront vos empiresPour vivre en liberté,En liberté !Quand les soudards gardaient toutes nos villesEt méditaient leurs plus horribles coups,Les hitlériens et leurs valets servilesÀ tout jamais croyaient régner sur nous.Mais quand sauta « le mur de l’Atlantique »,À l’horizon le ciel devint plus clair,Et le Maquis, dans une lutte épique,Fit reculer tous les suppôts d’Hitler.En attendant le châtiment suprême— trop doux, hélas ! pour de pareils bandits —Mussolini, César de mi-carême,Hitler et toi, vous resterez maudits !Mais il faudra, devant le ciel de France,Où tant de cœurs sont morts sous le couteau,Que la justice élève une potencePour y suspendre Adolf et Benito ![…]
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Les Deux vampires [texte à retrouver]
Bizeau, Eugène
Texte d’Eugène Bizeau (1944). Air : « Les Allobroges » (1856).
Cité dans :
Bizeau, Eugène. — Eugène Bizeau a 100 ans : chansons et poésie / éd. Christian Pirot ; présentation Robert Brécy. — Saint-Cyr-sur-Loire : Christian Pirot, 1983 (p. 46-47).