Quelques poésies — mais aucune chanson — paraissent dans ce titre parfois censuré :
- poésie « Appel aux hommes » de Georges Chennevière, in n° 1 (6 avr. 1919)
- poésie « Hosannah ! » de Genold, in n° 2 (13 avr. 1919)
- poésie « Pruderie » d’André Spire, in n° 3 (20 avr. 1919)
- poésie « Poème » de Loïs Cendré, in n° 3 (20 avr. 1919)
- poésie « Épigrammes » d’Ermenonville, in n° 4 (27 avr. 1919)
- poésie « Les idées sont en route » de Charles Vidrac, in n° 4 (27 avr. 1919)
- poésie « À un homme » (Fritz Adler, par exemple) de Maurice Wullens (mars 1919), in n° 4 (27 avr. 1919)
- poésie « Victoire ! » de Marcel Sauvage, in n° 4 (27 avr. 1919)
- poésie « La Danse par les ruines » de Genold, in n° 5 (4 mai 1919)
- poésie « Obsession » d’André Marait (avec dessin), in n° 5 (4 mai 1919)
- poésie « Cognes et flics » de Paul Verlaine (Invectives), in n° 6 (11 mai 1919)
- poésie « Rien n’est perdu » de René Arcos, in n° 6 (11 mai 1919)
- poésie « Printemps » de Marcel Sauvage (avril 1919, Aux morts pour la Patrie), in n° 6 (11 mai 1919)
- poésie « L’Appel » d’Edme Goyard, in n° 6 (11 mai 1919)
- poésie « Artistes ! allons avec eux… » de A. Brabo (1er mai 1919), in n° 6 (11 mai 1919)
- poésie « Réformé » de Marcel Sauvage (avril 1919), in n° 7 (18 mai 1919)
- poésie « Ballade touchant l’inconscience contemporaine » de René-Marie Hermant, in n° 7 (18 mai 1919)
- poésie « Le Grand jour » d’Henriette Sauret (11 novembre 1919, L’Amour à la géhenne), in n° 7 (18 mai 1919)
- poésie « Compagnon survivant… » de Noël Garnier (1919), in n° 8 (25 mai 1919)
- poésie « Chanson du gas qui se refuse » d’Alfred Varella, in n° 8 (25 mai 1919)
- poésie « Aux hommes » de Genold, in n° 9 (1er juin 1919)
- poésie « À celui qui fut cricifié » de Walt Whitman, in n° 9 (1er juin 1919)
- poésie « Sur le livre de Whitman : Feuille d’herbe » de Charles Vidrac, in n° 10 (8 juin 1919)
- poésie « Tu ne peux plus… » de Jean Baucomont (À Georges Duhamel), in n° 10 (8 juin 1919)
- poésie « Ballade bénévole pour entendre autant ici que là » de René-Marie Hermant, in n° 10 (8 juin 1919)
- poésie « La Bataille » de P.-J. Jouve (Heures. Livre de la nuit), in n° 11 (15 juin 1919)
- poésie « Promenade » de Genold, in n° 12 (22 juin 1919)
- poésie « À ceux de la grande épopée » de Marcel Sauvage, in n° 12 (22 juin 1919)
- poésie « In memoriam » de Noël Garnier (Le Don de ma mère, juin 1918), in n° 13 (29 juin 1919)
- poésie « Ces grèves ! » d’André Spire, in n° 14 (6 juil. 1919)
- poésie « Aux sacrifiés » de Loïs Cendré, in n° 15 (13 juil. 1919)
- poésie « Les Stigmates » d’Ermenonville, in n° 15 (13 juil. 1919)
- poésie « À un enfant » de L. Charles-Baudoin, in n° 16 (20 juil. 1919)
- [n° 23 (7 sept. 1919), non dépouillé]
- poésie « La Guerre » de Franz Werfel (4 aout 1914, trad. L. Charles Baudouin), in n° 25 (21 sept. 1919)
- poésie « Un Militant » d’André Spire (extr. de Versets), in n° 26 (28 sept. 1919)
- poésie « Invocation à Dionysos » de Genold, in n° 28 (12 oct. 1919)
- poésie « La Révolution proclamée » (« Revolutions aufruf ») de Franz Werfel (trad. L. Charles Baudouin), in n° 29 (19 oct. 1919)
- poésie « D’une veuve… » de Noël Garnier (aout 1918), in n° 30 (26 oct. 1919)
- poésie « Le Sage à ses ennemis » (de Les Uns et les autres, 1917) de Franz Werfel (trad. L. Charles Baudouin), in n° 32 (15 déc. 1919)
- [revue (4 numéros de 1920) non dépouillée]
Couv. de Notre voix n° 19 (10 aout 1919)