Chansons et poésies sont parues dans ce périodique édité par un groupe familial également spécialisé dans l’escroquerie (voyance, contacts avec les décédé|e|s (surtout célèbres), exercice illégal de la médecine, …) :
- poésie « Hymne à l’anarchie » de compagnon Raphaël [Teissier], in n° 2 (juil. 1895)
- n° 3 et n° 4 non dépouillés
- chanson « Hymne dédié aux mânes d’Émile Henry » de Marie de Saint-Rémy [Marie Andrieux, veuve Teissier] (air : « Un enfant s’ébattait »), in n° 5 (févr. 1896)
- poésie « Soupirs de justice et de vérité » d’Élisée Albrand [Albran], in n° 5 (févr. 1896)
- poésie « Perles du cerveaux d’un anarchiste de 17 ans » d’Emma Teissier, in n° 6 (mars 1896)
- poésie « Cri d’amour anarchiste » de Marie de Saint-Rémy, in n° 6 (mars 1896)
- n° 6 et n° 7 non dépouillés
- poésie « Photographie de la conscience d’un sénateur » de Marie de Saint-Rémy (prison de Toulon, mars 1896), in n° 9 (1er déc. 1896)
- poésie « Caresses de marie de Saint-Rémy à Lorion-Girier » de Marie de Saint-Rémy, in n° 9 (1er déc. 1896)
- poésie « Communication de Raphaël Teissier : fils désincarné de Marie de Saint-Rémy » de Raphaël Teissier (19 nov. 1896), in n° 9 (1er déc. 1896)
- poésie « Du bal de l’Élysée » de Marie de Saint-Rémy, in n° 10 (15 déc. 1896)
- chanson « Réponse de la voyante » de Marie de Saint-Rémy [« Réponse de la voyante de la villa America, Toulon, à l’article de M. Édouard Drumond, publié dans les colonnes du journal “La Libre parole” en ce jour mardi 29 décembre. »], in n° 11 1er janv. 1897)
- chanson « La Fiancée de Ravachol » de marie de Saint-Rémy (air : « Reviens à moi toi que j’adore »), in n° 12 (15 janv. 1897)
Un autre de leurs journaux, le n° 1 (vendredi-saint [3 avril] 1896) de Le Christ : organe universelliste, publie aussi de longs poèmes (« La Semaine sanglante », « Hymne à l’universellisme ») de marie de Saint-Rémy
Les chansons citées ne sont pas reproduites ici.
