1849

Chansons (7)

• La Banque du peuple (1849)

  Chanson — loin d’être anarchiste — de Charles Morisset louangeant le projet de « Banque du peuple » de Pierre-Joseph Proudhon. Sur l’air de Nostradamus.

  Sous ton égide, ô sainte République ; / Abrite bien notre nouveau bercail, / Nous commençons la lutte pacifique / Qui doit unir les élus du (…)
• Cartouche banquier (1849)

  Texte d’Eugène Pottier (Paris, 1849). Sur l’air : « Marche du chalet ».

  Au citoyen Auguste Chirac, auteur des Rois de la République. / Un petit-fils du grand Cartouche, / Un brave à profil de vautour, / Au coin d’un (…)
• Fraternité et fraticide (1849)

  Texte de Joseph Déjacque (1849).

  Alors qu’en Février la jeune République, / Aux ailes du Progrès, ouvrait les horizons, / D’occultes serviteurs du Veau d’Or monarchique, / Sous (…)
• La Montagne (1849)

  Texte d’Eugène Pottier (Grenoble, 1849).

  À Goupil fils [Edmond Goupil ?]. / Fils de mon hôte, âme rêveuse et franche, / Un homme en vous grandit sous l’écolier. / Vous souvient-il qu’on (…)
• La Mort d’un globe (1849)

  Texte d’Eugène Pottier (Jouy-en-Josas, 1849). Mus. par Allyre Bureau (1810-1959) ; mus. (2021 ?) par Corentin Coko.

  À B[enoît] Malon, membre de la Commune. / Aux mers d’azur où nagent les étoiles, / Notre œil de chair se noie en se plongeant, / Mais l’infini (…)
• Quel est le fou ? (1849)

  Texte d’Eugène Pottier (1849). Sur l’air : « Je suis vilain » de Pierre-Jean de Béranger ; aussi mus. (2011) par Sébastien Ducret.

  1 / Comme Je vais, fixant le sable, / Heurtant chacun, mâchant des mots, / De ce hameau je suis la fable : / Je suis moqué par les marmots. / (…)
• Sentier des bois (1849)

  Texte d’Eugène Pottier (1849).

  À Ernest Cheroux (Lice chansonnière) / Comme un ruban jaune étendu / Sous ta voûte de calme et d’ombre, / Petit sentier, dans le bois sombre, / Tu (…)